REPRESA | Resilience and preparedness to tropical cyclones across Southern Africa

Résilience et préparation aux cyclones tropicaux en Afrique australe (REPRESA)

Grâce à une nouvelle modélisation climatique et hydrodynamique des inondations, associée à des approches d’évaluation des risques et de la vulnérabilité, ce projet permettra de mieux comprendre les risques composés liés aux cyclones tropicaux et la probabilité d’impacts cycloniques tropicaux sans précédent. Grâce à un leadership national, à la formation et à l’engagement communautaire, REPRESA permettra de réaliser des avancées scientifiques, d’améliorer l’alerte précoce, de lever les obstacles à l’adoption des systèmes d’alerte précoce et d’éclairer les options d’adaptation dans le contexte de vulnérabilités croisées dans les trois pays d’Afrique australe les plus exposés aux cyclones tropicaux, à savoir Madagascar, le Mozambique et le Malawi : Madagascar, le Mozambique et le Malawi. Grâce à une meilleure compréhension des risques liés aux cyclones tropicaux et à une approche globale de la recherche, REPRESA permettra aux communautés vulnérables, aux acteurs du développement, aux autorités locales et aux décideurs au niveau national de faire face à ces risques de manière plus efficace et inclusive.

Dans le cadre d’un partenariat codirigé par l’université de Witwatersrand, l’université de Bristol et l’université Eduardo Mondlane, les services météorologiques nationaux des trois pays travailleront avec les acteurs locaux et internationaux de la réponse humanitaire et avec les communautés vulnérables pour développer conjointement de nouveaux produits d’alerte précoce visant à améliorer les réponses à l’évolution des risques d’inondation. REPRESA laissera un héritage à long terme : l’amélioration des capacités nationales en matière de prévisions multirisques basées sur l’impact et de communication d’alerte précoce au niveau communautaire. Une meilleure compréhension des liens complexes entre la vulnérabilité, l’évolution des risques liés aux cyclones tropicaux et d’autres facteurs de changement permettra d’éclairer les options d’adaptation au climat.

Crédit photo: IDRC